• À la fin du parcours, l’arbre du balayeur salue le voyageur et l'invite à gérer ses déchets en privilégiant le recyclage.
  • La vallée des Marantes : l’amarante est la seule plante qui résiste au fameux pesticide Roundup utilisé pour les plants de soja, un des principaux facteurs de déforestation de l’Amazonie.
  • Le Perbrosquet : le jeu des brosses en mimétisme avec la nature invite parfois à des assemblages dont la réalité dépasse l’imaginaire.
  • Brossanawa de près. Un hommage au peuple Huni Kuin d’Amazonie brésilienne, pour lequel Alexis Tricoire œuvre au travers l’association humanitaire Jiboiana. Celle-ci participe à la protection des modes de vie traditionnels, en construisant des puits artésiens solaires qui fournissent de l'eau potable et des pépinières dans les villages indigènes isolés. Ainsi, elle restaure les zones de forêt dégradées avec l'implantation d'arbres nourriciers.
  • Les brosserettes. En fait ça s’appelle « Les brodeuses ». Cousine aciérée de la fougère, la Brosseuse ondulante est un symbole de résilience : la nature reprend de la vigueur dès qu’on lui rend sa place. La fougère est capable de reprendre vie alors qu’elle est complètement desséchée et qu’elle semble morte depuis de nombreuses années.
  • Les Goupignons : ces fibres recyclées, qu’elles soient naturelles, métalliques ou synthétiques, se prêtent immédiatement au biomimétisme et permettent de suggérer une multitude d’organismes vivants.
  • Portrait du designer végétal Alexis Tricoire.
  • Brossanawa dans la brume. Brossanawa ferme le parcours au bas du vallon et se pose en protecteur symbolique de la partie visitée. La coiffe est faite de pinceaux Raphaël.
  • La Brosserette : ces grandes brosses métalliques sont colonisées par des feuilles et des insectes pour fusionner dans le paysage.